Présentation de la course de Pont de Vaux au fils des années...
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Un morceau de prairie en bordure de rivière, le long du canal. Les pêcheurs taquinent le goujon. Le village n'est pas loin, avec son port de plaisance et ses boutiques.
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Au début,
il y eu les trikes (on disait aussi ATC ), délire sur trois roues,
instables mais terriblement amusants à piloter. Ils furent très nombreux
dés la première course organisée à Pont de Vaux.
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Rapidement d'autres machines apparurent dans la prairie, à quatre roues cette fois. Plus équilibrées et beaucoup plus efficaces aussi, les performances s'améliorent rapidement. |
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Avec ses grandes lignes droites tracées pour la vitesse absolue, Pont de Vaux oblige les préparateurs à mettre au point, à la fois, des engins suffisamment rapides et aussi très endurants, capable d'avaler sans problèmes les dizaines de tours impartis pour espérer briller et vaincre. |
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![]() Aux stands des équipes professionnelles et de purs amateurs se côtoient le temps d'une course. Les moyens ne sont pas les mêmes, mais la passion est identique. Un village de plus de 1500 personnes, s'agite, vibre et respire au rythme des ravitaillements. Au panneautage, le tour par tour se traduit en toutes langues. Une seule ligne de conduite... la trajectoire, pour ces trois pilotes vissés l'un à l'autre. Un même mot d'ordre pour tous, rester gaz. |
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La concurrence acharnée à laquelle se livrent les équipes venues du monde entier, instaure d'année en année, un niveau technique de plus en plus relevé. Podium de rêve, podium rêvé, et... merci l'équipe. | ![]() |
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